- EAN13
- 9782232147104
- ISBN
- 978-2-232-14710-4
- Éditeur
- Seghers
- Date de publication
- 12/10/2023
- Nombre de pages
- 336
- Dimensions
- 23,4 x 18,3 x 3,4 cm
- Poids
- 958 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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L'édition illustrée et moderne d'une l'anthologie qui consacre le beau sexe.
Par cette anthologie, Marcel Béalu nous convie à six siècles de poésie érotique de langue française. De Guillaume Coquillard à René de Obaldia, des dizains licencieux de Clément Marot à l'obscénité débridée de Théophile Gautier, des facéties grivoises de Claude Le Petit, brûlé vif à vingt-trois ans en place de Grève, aux Poésies libres d'Apollinaire, de la grande Louise Labé à la surréaliste Joyce Mansour, plus de cent vingt poètes, hommes et femmes, y célèbrent la volupté.
Classique maintes fois réédité, La Poésie érotique de Marcel Béalu paraît pour la première fois dans une édition illustrée. À travers ses dessins, Louise Bourgoin donne corps aux visions qu'offrent ces vers. Sous son crayon, l'éros est solaire et spirituel : désir rime avec joie, plaisir avec partage, impudeur avec liberté. Dans un écrin rose comme la chair, l'enfer des bibliothèques prend des allures de paradis.
Par cette anthologie, Marcel Béalu nous convie à six siècles de poésie érotique de langue française. De Guillaume Coquillard à René de Obaldia, des dizains licencieux de Clément Marot à l'obscénité débridée de Théophile Gautier, des facéties grivoises de Claude Le Petit, brûlé vif à vingt-trois ans en place de Grève, aux Poésies libres d'Apollinaire, de la grande Louise Labé à la surréaliste Joyce Mansour, plus de cent vingt poètes, hommes et femmes, y célèbrent la volupté.
Classique maintes fois réédité, La Poésie érotique de Marcel Béalu paraît pour la première fois dans une édition illustrée. À travers ses dessins, Louise Bourgoin donne corps aux visions qu'offrent ces vers. Sous son crayon, l'éros est solaire et spirituel : désir rime avec joie, plaisir avec partage, impudeur avec liberté. Dans un écrin rose comme la chair, l'enfer des bibliothèques prend des allures de paradis.
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